Cet article fait référence à la Partie 2 du mémoire de Master mention préparateur physique par Jean Catherine SINGOA TOYA réalisé à l’Université Centrale – Ecole paramédicale (2020/2022).
Titre du mémoire : Prévention des blessures et réathlétisation des sportifs opérés de haut niveau – cas des sportifs post-opérés du LCA au centre National de la Médecine et des Sciences du Sport de Tunis
–
Sommaire
Principaux traumatismes du genou
Lors de la pratique sportive, les traumatismes peuvent survenir suite à un choc direct ou indirect et agir sur les parties molles (tendons, ligaments, nerfs) ou sur les parties dites « dures » (tibia, fémur, patella, ménisques).
Le genou traumatique est plus fréquent chez l’adulte que chez le jeune en raison des contraintes de poids et des forces qui sont plus faibles chez les jeunes, ainsi que des différences de laxité et de l’élasticité des structures ligamentaires.
Les lésions peuvent être des macros-traumatismes (fracture, entorse, …) ou micro-traumatismes (tendinite, syndrome fémoro-patellaire, etc.) (Olsen O.E et al .2003).
Les lésions tendineuses
Elles sont appelées des tendinopathies qui surviennent lors de la majoration de l’intensité ou de la durée de l’activité sportive et peuvent être de trois ordres (Dubrana F et al .2012, Dubayle F .2012) :
- Tendinopathies de traction : mouvement brutal et puissant (répétition de sauts, de freinages…)
- Tendinopathies de frottement ou de compression : frottement ou balayage répété ce qui entraîne une souffrance de l’enveloppe située autour du tendon (tenosynovite) ou des structures de glissement (bursite).
- Tendinopathies par choc direct.
Les lésions osseuses
Plus connue sous le nom de fracture, la lésion osseuse est la rupture violente d’un os. Chez certains sportifs, il peut y avoir une fracture dite « de fatigue » en raison de microtraumatismes répétés (Guay M. 2009).
Les lésions méniscales
Ces lésions sont très fréquentes dans le domaine sportif. Les sportifs les plus concernés sont souvent des hommes de 30 à 35 ans pratiquant un sport à haut risque (football, ski, rugby, etc.) (Danowski RG et al .2001).
Elles peuvent être d’origine traumatique ou non traumatique (dégénérative) et peuvent aller d’une petite atteinte par compression jusqu’à une déchirure complète ou partielle des différentes parties anatomiques. Les signes cliniques sont un blocage, une douleur, de l’hydarthrose et un craquement (Beaufils F .1998).
Les lésions cartilagineuses
Il existe deux types de lésions cartilagineuses, les lésions larges et généralisées d’arthrose et les lésions focales et isolées post-traumatiques, appelées aussi lésions dégénératives et lésions traumatiques.
La première correspond à un vieillissement de l’articulation (arthrose) et la seconde se présente généralement chez le sujet jeune associée à une rupture ligamentaire et / ou méniscale.
Elle se manifeste par une douleur, une sensation de corps étranger dans le genou, d’un blocage, d’un gonflement du genou et d’une boiterie (Hager J .2002).
Classification des entorses du genou (Danowski R et al.2011)
Les entorses font partie des lésions les plus fréquemment rencontrées en pratique sportive.
- Stade I : Entorse bénigne correspondant à une simple élongation, à une distension, voire à des microdéchirures des éléments périphériques. La douleur est peu intense et n’empêche pas la poursuite de l’activité́. L’évolution est en principe favorable.
- Stade II : Entorse de moyenne gravité liée à une rupture totale ou partielle des formations périphériques imposant un traitement orthopédique par immobilisation totale ou relative. La douleur est intense et l’activité́ ne peut être poursuivie.
- Stade III : Entorse grave définie par une rupture d’un ou de deux éléments du pivot central.
Elle peut être isolée ou associée à une lésion des éléments périphériques et dont l’indication opératoire est, dans la majorité́ des cas, formelle chez un jeune sportif.
Classification basée sur les lésions anatomiques
- Entorse médiale : l’élongation ou rupture du ligament collatéral tibial.
- Entorse latérale : l’élongation ou rupture du ligament collatéral fibulaire.
- Lésion isolée d’un ligament croisé : la lésion L.C.A. est plus fréquente que celle du L.C.P. La rupture du L.C.A. est caractérisée par un craquement, une douleur violente et un gonflement du genou et de nombreuses études (Olsen O.E et al .2003, Myklebust G et al .2003, Lefevre N et al .2011, Pairot et al .2009) montrent qu’elle est trois fois plus fréquente chez la femme que chez l’homme.
Les différents facteurs de risques
Il est impossible de déterminer pour chaque blessure la cause exacte du traumatisme. Les études citées ci-dessous ont mis en avant des facteurs prédisposants et en particulier lors de la rupture du L.C.A.
Ces facteurs à risques peuvent être d’ordre extrinsèque ou intrinsèque (Olsen O.E et al .2003, Hajer J .2004, Guay M .2009, Myklebust G et al .2003, Lefevre N et al .2011, Pairot et al .2009, Cordier J.P et al .1995)
Les facteurs extrinsèques
– Compétition / entrainement : le risque de rupture du L.C.A. est plus élevé lors d’un match de handball que d’un entrainement cela a été aussi mis en avant dans d’autres disciplines comme le rugby ou le football (Bruce D et al.2014, Diallo O.2001).
– L’encadrement et l’entrainement : la régularité́ des entrainements, le degré́ d’intensité́ et la fréquence permettent d’améliorer la performance et de diminuer le risque de blessure. De plus, une bonne surveillance et la connaissance des facteurs prédisposant à la blessure permettent d’en éviter certaines (Bruce D et al.2014, Diallo O.2001).
– Le revêtement de sol : la meilleure adhérence entre les chaussures de sport et les surfaces de jeu améliore les performances sportives mais augmente le risque de rupture du L.C.A. (Olsen O.E.2003) a démontré́ que pour des sols artificiels le risque était supérieur à celui des planchers en bois pour une équipe féminine de handball mais cette relation n’a pas été démontrée au niveau des équipes masculines. Afin d’être performant et sécurisant pour l’athlète, les revêtements sportifs doivent allier les propriétés d’élasticité́ (performance), d’amortissement (sécurité́), de souplesse (confort du joueur et sureté́ des appuis) et de stabilité́ (sécurité́ des appuis).
Les facteurs intrinsèques
En fonction de l’âge, que ce soit à 17 ans ou à 45 ans, le corps ne réagit pas de la même façon. Les systèmes tégumentaires, osseux, articulaire, musculaire, nerveux, cardio- vasculaire, respiratoire n’ont pas les mêmes propriétés au cours de la vie de l’individu : les tendons et les ligaments se raccourcissent et deviennent plus fragiles, le cartilage s’use au fil des années (Bruce D et al.2014).
Pour le facteur anatomique (Moore KL et al.2011) parlent d’une hyperlaxité́, due à l’échancrure inter condylienne plus étroite, avec la pente tibiale ce qui favorisent la rupture du L.C.A.
Concernant les facteurs biomécaniques :
- -La contraction d’un muscle, en particulier la contraction excentrique du quadriceps peut entraîner la rupture du L.C.A. La combinaison des mouvements de flexion, rotation latérale ou médiale et valgus du genou favorisent la rupture du L.C.A. (Mauntel TC et al.2013)
- – L’hyper extension.
Neuromusculaires : le déséquilibre quadriceps / Ischiojambiers en faveur du quadriceps favorise la rupture du L.C.A. Cela est très fréquent chez le sexe féminin (Hawett TE.2005).
Hormonaux : ce facteur concerne uniquement les femmes ; nombreuses études ont indiqué que les entorses graves avaient essentiellement lieu durant la phase pré-ovulatoire (Hawett TE.2000).
Sexe : à sport égal, le taux de blessures est beaucoup plus important chez les femmes.
Les facteurs avancés sont d’ordre hormonal, biochimique, morphologique et sont liés à la réalisation du geste sportif. Cependant, le handball masculin est plus basé sur la notion de contact et d’affrontement direct alors que le handball féminin est plus basé sur une notion d’évitement ce qui entraîne des changements de direction plus fréquents. Cette spécificité de jeu peut expliquer cette différence (Bruce D et al.2014).
Le poste de jeu : au rugby féminin, 67% des ruptures du L.C.A. étaient observées chez les trois quarts. Les trois quarts sont des athlètes qui réalisent généralement des évitements plutôt que des percussions (Hager J.2004).
Le mode de vie : hygiène de vie, fatigue, état psychologique. Les évènements forts ou traumatisants de la vie entraînent un stress négatif et une déconcentration chez l’athlète, ce qui diminue la rapidité et la réactivité dans les situations à risques. Une vie saine permet une optimisation du potentiel physique et un écartement des risques.
Les antécédents : la présence au niveau de la cheville, d’une entorse incomplètement cicatrisée ou mal rééduquée peut entrainer une entorse au niveau du genou.
Ces facteurs sont nombreux mais il ne faut pas les négliger ; certains peuvent être diminués voire éliminés par l’athlète ou son entourage.
Réathlétisation
La réathlétisation = Réentrainement ou Reconditionnement qui s’opposent au Désentrainement.
La réathlétisation est une rééducation au sport, qui vise à ré entrainer individuellement le sportif qui a subi les effets du désentrainement, suite à une pathologie (maladie, traumatisme) afin de retrouver sa forme physique et revenir à la compétition (M. Berthomier, 2015).
De sa part, M. Chirac (2014) définit la réathlétisation dans son livre « La réathlétisation les grands principes » comme étant la réintégration des ressources physiques à leur plus haut niveau d’efficacité dans le processus de retour à la pratique.
Méconnue par les uns, souvent négligée par les autres, la réathlétisation constitue une étape essentielle pour tous ceux qui souhaitent reprendre une activité́ sportive après une blessure.
Sorte de rééducation plus sportive que médicale, elle permet d’amener ou de ramener le sportif, amateur ou professionnel, à son meilleur niveau de pratique. Elle peut être proposée à toute personne souhaitant débuter une activité́ sportive en bonne condition physique ou reprendre un sport après une interruption plus ou moins longue, mais également, aux sportifs blessés soucieux de retrouver leurs gestes sportifs et leur performance avant leur retour sur le terrain.
La réathlétisation est une étape qui consiste à reprendre son activité́ sportive en réadaptant son corps à l’exercice physique et à ses exigences. En parallèle, un travail important sur la prévention des blessures ou de ses récidives est planifié. Suite à une blessure ou une chirurgie, la réathlétisation devient incontournable dans les protocoles de traitement des pathologies sportives.
Période cruciale dans la rééducation d’un sportif, elle permet de faire la jonction entre le travail des médecins, des kinésithérapeutes et celui du préparateur physique.
La blessure et le temps de repos nécessaire à sa guérison entrainent une diminution des capacités cardio-vasculaires, musculaires et respiratoires du sportif. Dès lors, il est primordial de réaccoutumer l’organisme à la pratique sportive intensive pour prévenir les récidives et avoir une estimation précise de son potentiel réel.
Le préparateur physique va proposer des exercices de réadaptation en lien direct avec le traumatisme subit afin de retrouver une mobilité, une technicité et une condition physique optimales en vue de reprendre un entrainement progressif, mesuré et personnalisé (rééquilibrage des chaines musculaires, optimisation des transferts de force, reprise des appuis …).
Travail alternatif en dissymétrie induisant les grands schémas du mouvement spiralé, elle résulte de la coordination des articulations alternance des systèmes rotatoires externes internes.
C’est une phase durant laquelle on centralise et on organise des informations pour les redistribuer sous une forme différente, adaptée au monde extérieur (/www.kineactu.com / n°1295 / Jeudi 25 octobre 2012).
Importance de la réathlétisation
Dans le cas d’un sportif qui a été blessé, la période d’inactivité peut durer plusieurs semaines voire plusieurs mois. Il subit les effets négatifs du désentrainement. Tout d’abord, il faut préciser que la reprise après blessure ne peut se faire que si celle- ci est guérie.
Chaque élément (muscle, ligament, os …) aura un délai de guérison propre qu’il faudra respecter de cinq jours à deux mois pour une lésion musculaire, nous pourrons monter jusqu’à neuf mois ou un an pour un ligament ou un os. Vouloir gagner du temps est souvent la meilleure façon d’en perdre.
La réathlétisation comme réponse au désentrainement du sportif blessé
Une phase de réathlétisation se justifie donc pour compenser les effets néfastes physiologiques dus au désentrainement subit à cause de la blessure.
Afin de gagner du temps sur la reprise de l’entrainement, de nombreux chercheurs et entraineurs ont étudié les modalités du maintien de l’état de forme physique. Deux protocoles se dégagent, l’entrainement réduit et l’entrainement croisé (à partir d’activités différentes de celles pratiquées habituellement par le sujet).
L’entrainement réduit se fera en préservant l’intensité, le volume pouvant être réduit de 60%, cependant la fréquence de l’entrainement ne peut être réduite que de 20 à 30%.
L’entrainement croisé, consistera à maintenir une activité alternative ayant peu de contraintes sur la région lésée en cas de blessure, on utilisera l’aqua-jogging, la natation, le vélo, un sport collectif ou autre. Le choix se faisant en tenant compte des impératifs liés à la blessure, des contraintes de l’activité, des goûts du sportif.
La marche globale de la réathlétisation
De manière schématique, après une blessure provoquant une immobilisation plus ou moins longue, la phase de rééducation et de réadaptation se fait en cinq étapes :
A / Cicatrisation : musculaire, ligamentaire ou tendineuse.
B / Autonomie : travail de la mobilité et du réveil musculaire.
C / Consolidation : renforcement musculaire avec développement du contrôle neuromusculaire et de la proprioception.
D / Réathlétisation : activités proprioceptives dynamiques, développement de l’endurance et de la puissance. Travail de terrain adapté au sport pratiqué, travail des points dits faibles.
E / Reprise du sport pratiqué : travail musculaire intense, réapprentissage des gestes sportifs préférentiels. La durée de chaque phase dépend de la gravité de la blessure.
La marche spécifique de la réathlétisation
La phase de réathlétisation peut, selon la nature de la lésion, couvrir toute la période du traitement médicale jusqu’au retour à la compétition. Elle intervient généralement après la rééducation chez le kinésithérapeute et précède la reprise de la compétition. (Chirac, M. (2014))
1/ Analyse de la blessure.
(Musculaire, articulaire ou osseuse, avoir des connaissances en pathologies sportives fréquentes)
2/ Analyse de l’activité pratiquée par le sportif.
-Comment se déplace-t-il ? En marchant ? En courant ? En nageant ? -Combien de temps d’effort effectif fait-il sur le temps total ?
-Quel type d’effort fait-il ? Continu ? Intermittent ? Explosif ? Lent ? -Quelle filière énergétique principale est sollicitée ? Aérobie ? Anaérobie alactique ou lactique ?
-Quel instrument utilise-t-il ? Ballon ? Raquette ?
-Quelle catégorie de discipline ? Collective ? Individuelle ?
-Quelle sont les groupes musculaires principalement sollicités lors de l’activité ?
-A quel rythme est la compétition ? Hebdomadaire ? Ponctuel ? -Y a-t-il des contacts dans la discipline ?
3/ Entretien et analyse anthropométrique du blessé.
-Taille, Poids, IMC.
4/ Évaluation posturale, physique et fonctionnelle de l’athlète
(VMA, FC max, Force du tronc, Test de proprioception, Souplesse…) Broussal-Derval, A, et Delacourt, L. (2015)
5/ La planification.
-Le protocole de réathlétisation débute par du qualitatif léger et doit tendre vers du quantitatif lourd.
– La durée :
1- La durée de la prise en charge du blessé sportif est généralement de dix à douze semaines post-rééducation.
2- En règle générale, on dit que la période de réathlétisation doit être égale à la durée d’indisponibilité.
Validation des étapes par l’athlète en termes de ressenti (pas de douleurs pour continuer le programme).
Progression (fréquence et durée des exercices et des séances).
Pour les amateurs, 03 séances par semaine, de 45 à 90 minutes avec 48 h de repos entre chacune d’elles.
Pour le haut niveau, un travail quotidien voire biquotidien sera plus efficace.
6/ Conception des séances ou contenu :
Le contenu général des séances obéit à la répartition suivante :
40% de renforcement musculaire.
20% de proprioception.
40% de reconditionnement à l’effort.
7/ Modulation hebdomadaire :
Il s’agit d’adapter les contenus des séances en fonction du ressenti et des progrès du sportif. Parfois on doit modifier à l’instant même le nombre de séries, les charges ou les temps de repos.
8/ Évaluation finale :
Le protocole de réathlétisation ne peut être validé qu’avec des tests physiques de terrain ou de laboratoire. Broussal-Derval, A, et Bolliet, O. (2012)
Les évaluations finales doivent permettre de constater les progrès du sportif et leurs données physiologiques (post- réathlétisation) doivent se rapprocher de celles que l’athlète avait avant de se blesser. Sinon, la phase de réathlétisation doit être prolongée.
En somme l’introduction de la réathlétisation dans le processus de l’entrainement des athlètes blessés s’avère indispensable dans le suivi de leurs carrières.
Cependant, nous avons constaté le manque, voire le peu de support théorique dans la littérature traitant le sujet de la réathlétisation.
Par ailleurs, certains praticiens ont commencé leurs travaux sur le terrain, et ils projettent d’élaborer certains protocoles relatifs à certaines blessures.
La conduite de cette étude, nous a permis de constater la priorité de la réathlétisation en matière de prise en charge du blessé sportif, afin de susciter la réflexion à travers un savoir ou une compétence en exploration, et de découvrir une démarche même globale en proposant des axes de travail très pratique, et la prise en compte des exigences de la discipline sportive ainsi que le volet médical, à travers les différentes blessures.
Pour rappel, l’article présente uniquement la partie 2 du mémoire. Pour accéder au protocole, données ainsi qu’à la discussion du présent document, n’hésitez pas à vous adresser directement auprès de l’auteur.
–
–
Jean Catherine Singoa Toya
Références
- Berthomier, M. (2015), La réathlétisation du genou, Edition 4trainer, France.
- Finnoff JT. Preventive exercise in sports. PM R. 2012 Nov;4(11):862-6.
- Klügl M, Shrier I, McBain K, Shultz R, Moneywise WH, Garza D, Matheson GO. The prevention of sport injury: an analysis of 12,000 published manuscripts. Clin J Sport Med. 2010 Nov. ;20(6) :407-12.
- Micheo W, Baerga L, Miranda G. Basic principes regarding strength, flexibility, and stability exercises. PM R. 2012 Nov. ;4(11) :805-11.
- Lisman P, O’Connor FG, Deuster PA, Knapik JJ. Functional Movement Screen and Aerobic Fitness Predict Injuries in Military Training. Med Sci Sports Exerc. 2012 Nov 27.
- Paszkewicz J, Webb T, Waters B, Welch McCarty C, Van Lunen B. The effectiveness of injury-prevention programs in reducing the incidence of anterior cruciate ligament sprains in adolescent athletes. J Sport Rehabil. 2012 Nov;21(4):371-7.
- Broussal-Derval, A, et Delacourt, L. (2015), La proprioception : Le développement des qualités neuromusculaires au service de l’équilibre, Editions 4trainer, France.
- Broussal-Derval, A, et Bolliet, O. (2012), Les tests de terrain, Editions 4trainer, France.
- Chirac, M. (2014), La réathlétisation les grands principes, Éditions 4trainer, France.
- Walker, B. (2015), Anatomies des blessures du sportif, Editions Budo, France.
- Alentorn-geli e, Myer gd, silvers hj, samitier g, Romero d et al (2009) prevention of non-contact anterior cruciate ligament injuries in soccer players: part 1: mechanisms of injury and underlying risk factors. knee surg sports traumatol arthrosc 17: 705–729
- Alentorn-geli e, Myer gd, silvers hj, samitier g, Romero d, la ́zaro-haro c, cugat r (2009) prevention of non-contact anterior cruciate ligament injuries in soccer players. part 1: mechanisms of injury and underlying risk factors. knee surg sports traumatolarthrosc 17(7):705–729.
- Larruskain J, Lekue JA, Diaz N, Odriozola A, Gil SM. A comparison of injuries in elite male and female football players: A five-season prospective study. Scand J Med Sci Sport 2018; 28:237—45, https://doi.org/10.1111/sms.12860.
- Hägglund M, Waldén M, Ekstrand J. Risk factors for lower extremity muscle injury in professional soccer: The UEFA injury study. Am J Sports Med 2013; 41:327—35, https://doi.org/10.1177/0363546512470634.
- Ekstrand J, Askling C, Magnusson H, Mithoefer K. Return to play after thigh muscle injury in elite football players: implementation and validation of the Munich muscle injury classification. Br J Sports Med 2013; 47:769—74, https://doi.org/10.1136/bjsports-2012-092092.
- Eirale C, Tol JL, Farooq A, Smiley F, Chalabi H. Low injury rate strongly correlates with team success in Qatari professional football. Br J Sports Med 2013; 47:807—8, https://doi.org/10.1136/bjsports-2012-091040.
- Quelard, o. rachet, b. sonnery-cottet, p. chambat (2010) : rééducation postopératoire des greffes du ligament croisé antérieur, 2010 Elsevier Masson sas. 26-240-c-10
- Beaufils f (1998). Lésions méniscales. Rev Prat ;48(16) :1773-1779.
Qoillet m, pataud d (1991). De l’analyse de la stabilité au cahier des charges kinésithérapiques d’une ligamentoplastie Kenneth Jones modifié. Kinésithérapie ; 297 : 33-8. - Onnel f (2003). Abrégé d’anatomie fonctionnelle et biomécanique – tome iii: membre inferieur, hanche, genou, cheville, pied. Éditions saurampsmedical.
- Bruce d. Beynon, Pamela m. vacek, maira k. Newell, timothy w. Tourville, Helen c. smith, Sandra j. Shultz, James r. slauterbeck, Robert j. Johnson (2014): the effects of level of competition, sport, and sex on the incidence of first-time noncontact anterior cruciate ligament injury: American journal of sports medicine, 42(8), 1806-1812.
- Christopher c. Dodson, md, eric s. secrist, bs, Suneel b. Bhat, md, Daniel p. woods, md, and peter f. Deluca, md (2016): anterior cruciate ligament injuries in national football league athletes from 2010 to 2013: the Orthopaedic journal of sports medicine.
- Claes s, verdonk p, Forsyth r, bellemans j, (2011) the « ligamentization » process in anterior cruciate ligament reconstruction: what happens to the human graft? a systematic review of the literature.am j
- Zouhal, H., Coppalle, S., Rave, G., Dupont, G., Jan, J., Tourny, C., & Ahmaidi, S. (2021). Football de haut-niveau : analyses physique et physiologique–blessures et prévention. Science & Sports, 36(4), 332-357.
- Stølen, T., Chamari, K., Castagna, C., & Wisløff, U. (2005). Physiology of soccer. Sports medicine, 35(6), 501-536.
- Buchheit, M., Mendez-Villanueva, A., Delhomel, G., Brughelli, M., & Ahmaidi, S. (2010). Improving repeated sprint ability in young elite soccer players: repeated shuttle sprints vs. explosive strength training. The Journal of Strength & Conditioning Research, 24(10), 2715-2722.
- Canhadas, I. L., Silva, R. L. P., Chaves, C. R., & Portes, L. A. (2010). Anthropometric and physical fitness characteristics of young male soccer players. Revista Brasileira de Cineantropometria & Desempenho Humano, 12(4), 239-245.
- Halson, S. L. (2014). Monitoring training load to understand fatigue in athletes. Sports medicine, 44(2), 139-147.
- Daneshjoo a, rahnama n, Mokhtar ah, et al (2013). bilateral and unilateral asymmetries of isokinetic strength and flexibility in male young professional soccer players. j hum kinet ;36 :45–53.
- Danowski r. g. et chanussot j. c (2001). Traumatologie du sport, Masson, 6ème Édition,
p 121 à 178, ISBN : 2-294-00468-x - Diallo, o., Dore, e., duche, p. & van praagh, e. (2001). effects of plyometric training followed by a reduced training programme on physical performance in prepubescent soccer players. journal of sports medicine and physical fitness, 41, 342
- Dubayle F. (2012) – kine actualité – n°1295, 25 octobre: p24 à 28
- Dubrana f., guillodo y (2012). – genou du sportif, emc, traité de médecine akos ; 7 (3) : 1-5
- Dye, s, wojtys, e, fu, fh, Fithian, dc, gillquist I. (1998) factors contributing to function of the knee joint after injury or reconstruction of the anterior cruciate ligament. j bone joint surg 80a: 1380-1393,
- Edward m. wojtys, Laura j. Huston, Melbourne d. Boynton, Kurt p. Spindler, and Thomas n. Lindenfeld (2002); the effect of the menstrual cycle on anterior cruciate ligament injuries in women as determined by hormone levels: the American journal of sports medicine.
- Fabri s, lacaze f, marc y, et al (2005) rééducation des entorses du GENOU : traitement fonctionnel. Emc – kinésithérapie médecine physique et réadaptation ;26 :240-b-10.
- Fong c-m, Blackburn jt, Norcross mf, McGrath m, Padua da (2011) ankle-dorsiflexion range of motion and landing biomechanics. j athl train 46(1):5–10
- Frobell rb, roos hp, roos em, roemer fw, ranstam j, lohmander sl (2013) treatment for acute anterior cruciate ligament tear: five-year outcome of randomised trial. bmj 345:232
- Semenick, D. (1990). Le test T. Journal de la LSRN, 12(1), 36-37.
- PAUOLE KAINOA; MADOLE, KENT; GARHAMMER, JOHN; LACOURSE, MICHAEL; ROZENEK, RALPH. (2000). Fiabilité et validité du test T en tant que mesure de l’agilité, de la puissance des jambes et de la vitesse des jambes chez les hommes et les femmes d’âge collégial.The Journal of Strength & Conditioning Research. 14. 10.1519/00124278-200011000-00012.
- Guay m (2009) prévention et traitement des lésions sportives, les presses de l’université de Montréal, p. 23 à 50 et p. 313 à 335, ISBN : 978-2-7606-2147-3
- Frank c, amiel d, Woo sl, ET AL. (1985) normal ligament properties and ligament healing. clin orthop relat res ;196 :15–25.
- Hager j. ph (2004) pathologies du rugbyman, congrès médical de la fédération française de rugby, Lyon, p.195 à 253, ISBN : 2-84023-358-4
- Hagins m, pappas e, kremenic I, orishimo kf, rundle a (2007) the effect of an inclined landing surface on biomechanical variables during a jumping task. clin biomech 22(9):1030–1036.
- Hewett te (2000) neuromuscular and hormonal factors associated with knee injuries in female athletes: strategies for intervention. sports med 29(5):313–327
- Hewett te, Myer gd, ford kr (2006) anterior cruciate ligament injuries in female athletes: part 1, mechanisms and risk factors. am j sports med 34(2):299–311.
- Hewett te, Myer gd, ford kr et al (2005) biomechanical measures of neuromuscular control and valgus loading of the knee predict anterior cruciate ligament injury risk in female athletes: a prospective study. am j sports med 33(4):492–501
- Ibrahim Adalbert kapandji ; Thierry judet (2009) : anatomie fonctionnelle : 2, [membre inferieur] hanche. Genou. Cheville. Pied. Voûte plantaire. Marche.,6eme édition.
- Imbert JC. Le ligament croisé postérieur – pathologie du genou de l’adulte. Sofcot 1992 :105-126.
- J rodineau ; s besch, la cheville traumatique (2008) : des certitudes en traumatologie du sport : 26e journée de traumatologie du sport de la pitié́-salpêtrière.
- Kapandji a. I (2009) : anatomie fonctionnelle. Tome ii, membre inferieur, page 146, paragraphe 2, 6e édition maloine, paris.
- Kein p (2008) : Sommerfeld p. biomécanique des membres inférieurs – bases et concepts, bassin, membres inférieurs. Elsevier.
- Kruse l.m, b. gray, and r.w. wright (2012): rehabilitation after anterior cruciate ligament reconstruction a systematic review j bone joint surg am. oct 3; 94(19): 1737–1748. published online oct 3. Doi: 10.2106/jbjs.k.01246 pmcid: pmc3448301.
- Lafontan v, gasq d (2013). Le genou du sportif. L’observatoire du mouvement ;47.
- Lefevre n., bohu y., cascua s., Herman s (2011). – revue de la littérature du ligament croisé antérieur : particularités féminines – journal de traumatologie du sport 28 – p24 à 30
- Lobb r, tumilty s, Claydon ls (2012). a review of systematic reviews on anterior cruciate ligament reconstruction rehabilitation. phys ther sport.nov; 13(4):270-8.doi:10.1016/j.ptsp..05.001. epub jun 7.
- Maniscalco mw1, Magnussen ra, Mehta d, Hewett te, Flanigan dc, kaeding cc (2013) autograft versus nonirradiated allograft tissue for anterior cruciate ligament reconstruction: a systematic review. am j sports med. 2014 feb; 42(2):492-9. Doi: 10.1177/0363546513497566. epub 2013 Aug. 8.
- Maurice bouysset (2004). Pathologieostéo-articulaire du pied et de la cheville : approche Medico- chirurgicale, 3eme Édition.
- Mclean sg, Huang s, su a, van den bogert aj (2004) sagittal plane biomechanics cannot injure the acl during sidestep cutting. clinbiomech 19(8):828–838
- Moore kl., dalley af., agur a (2011). Anatomie médicale – aspects fondamentaux et applications cliniques. De Boeck.
- Moses b, orchard j, orchard j (2012) systematic review: annual incidence of acl injury and surgery in various populations. res sports med 20(3–4):157–179
- myklebust g, engebretsen l., braekken i.h., skjoelberg a., Olsen o.e., bahr r (2003). – prévention of anterior cruciate ligament injuries in female team handball players a prospective intervention study over three seasons – clin j sport med; 13: p. 71 – 78
- n LeFevre, y. bohu, s. klouche, j. lecocq, s. Herman (2013): anterior cruciate ligament tear during the menstrual cycle in female recreational skiers:
- orthopaedics&traumatology: surgery&research 99,571-575. Netter f. h.(2004) – atlas d’anatomie humaine. troisième édition. Masson, planches 489 à 493, isbn: 2- 294-01509-6.
- Olsen o.e., myklebust g., engebrestsen l., holme i., bahr r (2003). relationship between floor type and risk of acl injury in team handball – scand j medsci sports; 13, p299-304
- Osgnach, c., s. poser, r. bernardini, r. rinaldo, and pe di prampero (2010). energy cost and metabolic power in elite soccer: a new match analysis approach. med. sci. sports exerc, vol. 42, no. 1, pp. 170–178.
- Pairot de Fontenay b., argaud s., Monteil k. – rupture du l.c.a. chez l’athlète féminine : facteurs neuromusculaires et prévention, ks n° 500, juin 2009, p. 25 – 28.
- Vlaeyen, J. W. S., & Crombez, G. (2009). La psychologie de la peur et de la douleur. Revue du Rhumatisme, 76(6), 511‐516.
- ruedl g., webhofer m., linortner i., schranz a., fink c., Patterson c., nachbauer w., burtscher m (2011). acl injury mechanisms and related factors in male and female carving skiers: a retrospective study. int j sports med. jun 21.
- Pauzenberger l, syré s, Schurz m (2013). « ligamentization » in hamstring tendon grafts after anterior cruciate ligament reconstruction: a systematic review of the literature and a glimpse into the future. arthroscopy. 2013 oct; 29(10):1712-21. Doi: 10.1016/j.arthro.2013.05.009. epub 2013 Jul. 13.
- sigward sm, ota s, powers cm (2008) predictors of frontal plane knee excursion during a drop land in young female soccer players. j orthop sports physther 38(11):661–667
- stolen, t., chamari, k., castagna, c. &wisloff, u. (2005). physiology of soccer. sports medicine, 35, 501- 536.
- tiamklang t, sumanont s, foocharoen t, laopaiboon m (2012). double-bundle versus single-bundle reconstruction for anterior cruciate ligament rupture in adults. Cochrane database of systematic REVIEWS, issue 11. art. no.: cd008413. Doi: 10.1002/14651858.cd008413.pub2.
- Tsuda e, Okamura y, otsukan h, et al. direct evidence of the anterior cruciate ligament-hamstring reflex arc in humans. am j sports med 2001; 29:83-87.
- Vaillant j (2002). – stabilité dynamique du genou : physiologie du système de contrôle neuromusculaire. Kinésithérapie scientifique, 420, p. 55 – 56.
- Vaillant j (2002). – stabilité dynamique du genou : physiologie du système de contrôle neuromusculaire. Kinésithérapie scientifique, 421, p. 53 – 54.
- zebis mk, Andersen ll, bencke j, et al (2009). identification of athletes at future risk of acl ruptures by neuromuscular screening. am j sports med. 37:1967–73.
- Zehi k, ben Hamida f, belkhadhi a, naanaa t, ben zid m, douik m, et al. Intérêt du télos dans l’évaluation de la laxité́ chronique antérieure du genou en pré et post opératoire. j traumatol sport. 2007 ;24 :67-72.
- Djemaiel h. stratégie d’évaluation et de suivi des ligamentoplasties intra-articulaires du genou chez le sportif de haut niveau à propos de 19 cas [mémoire]. Mastère spécialisé en médecine appliquée au sport : Tunis ; 2010. 50.
- Croisier jl, crielaard jm. Expérience de l’isocinétisme dans l’encadrement sportif. 4ème édition. Paris: Masson; 2004.
- zazulak bt, Paterno m, Myer gd, Romani wa, Hewett te (2006). the effects of the menstrual cycle on anterior knee laxity: a systematic review. sports med. 36(10):847-62.
- Rodineau j, saillant g. un sport, un geste, une pathologie. 2ème édition. Paris : Masson ; 1998.
- Kapandji a. I (2009) : anatomie fonctionnelle. Tome ii, membre inferieur, page 146,paragraphe 2, 6e édition maloine, paris.
- Klein p (2008) : Sommerfeld p. biomécanique des membres inférieurs – bases et concepts, bassin, membres inférieurs. Elsevier.
- Olsen o.e., myklebust g., engebrestsen l., holme i., bahr r (2003). RELATIONSHIP between floor type and risk of acl injury in team handball – scand j medsci sports; 13, p299-304.
- Moses b, orchard j, orchard j (2012) systematic review: annual incidence of acl injury and surgery in various populations. res sports med 20(3–4):157–179.
- Hewett te, Myer gd, ford kr et al (2005) biomechanical measures of neuromuscular control and valgus loading of the knee predict anterior cruciate ligament injury risk in female athletes: a prospective study. am j sports med 33(4):492–501
- mclean sg, Huang s, su a, van den bogert aj (2004) sagittal plane biomechanics cannot injure the acl during sidestep cutting. clinbiomech 19(8):828–838
- frobell rb, roos hp, roos em, roemer fw, ranstam j, lohmander sl (2013) treatment for acute anterior cruciate ligament tear: five-year outcome of randomised trial. bmj 345:232
- Guay m (2009) prévention et traitement des lésions sportives, les presses de l’université́ de Montréal, p. 23 à 50 et p. 313 à 335, ISBN : 978-2-7606-2147-3
- witvrouw e, lysens r, bellemans j, Cambier d, vanderstraeten g (2000) intrinsic risk factors for the development of anterior knee pain in an athletic population: a two-year prospective study. am j sports med 28(4):408–409
- Vaillant j (2002). – stabilité dynamique du genou : physiologie du système de contrôle neuromusculaire. Kinésithérapie scientifique, 421, p. 53 – 54.
- Dubrana f., guillodo y (2012). – genou du sportif, emc, traité de médecine akos ; 7 (3) : 1-5
- Ibrahim Adalbert kapandji ; Thierry judet (2009) : anatomie fonctionnelle : 2, [membre inferieur] hanche. Genou. Cheville. Pied. Voûte plantaire. Marche.,6eme édition.
- Lafontan v, gasq d (2013). Le genou du sportif. L’observatoire du mouvement ;47.
chambat p (1992). Le ligament croisé antérieur – pathologie du genou de l’adulte. Sofcot :81-103. - Rochcongar p ; évaluation isocinétique des extenseurs et fléchisseurs du genou en médicine du sport : revue de la littérature. Annales de réadaptation et de médecine physique, 47 ; 274-281 ; 2004).
- Kerbour k, Barthe m et al. Force musculaire maximale isocinétique des extenseurs et fléchisseurs sagittaux du genou. Ann kinésithér : 14 : 281-3 ; 1987.
- alexander mjl. peak torque values for antagonist muscle groups and concentric and eccentric contraction types for elite sprinters. arch phys med rehabil; 71: 334-9; 1990. 1990.
- orchard j, Marsden j et coll. preseason hamstring muscle weakness associated with hamstring muscle injury in Australian footballers. am j sports med; 25: 81-5; 1997.
- j. Davies. a compendium of isokinetics in clinical usage 4e edsand s publishers, Wisconsin (1992).
- Pocholle, m. l’isocinétisme aujourd’hui : les tests. Ann kinesither, 28 : 208-21, 2001.
- Zouita a, dziri c, ben Salah fz, layouni r. comparaison de la force musculaire isocinétique et du ratio ischiojambiers quadriceps entre des sportifs tunisiens. Science et sports. 2007 ;22 :196- 200.
- Édouard, i. Fayolle-minon, p. calmels. Instabilité d’épaule et isocinétisme : apport de l’isocinétisme dans une situation clinique complexe.
- Fossier e, Christel p, witvoet j. l’évaluation isocinétique dans les ruptures du lca, la lettre du médecin rééducateur. 29, 3-11 ; 1993).
- Middleton p, Puig p, trouvé p. la rééducation après ligamentoplastie. Médecine physique rééducation, 51, p 30-32, 1999).
- van melick n, van cingel re, brooijmans f, et al. evidence-based clinical practice update: practiceguidelines for anterior cruciate ligament rehabilitationbased on a systematic review and multidisciplinary consensus. br j sports med 2016; 50:1506–15)
- grindem h, snyder-mackler l, moksnes h, et al. simple decision rules can reduce reinjury risk by 84% after acl reconstruction: the Delaware Oslo acl cohort study. br j sports med 2016; 50:804–8. 39.
- Brophy rh, Schmitz l, wright rw, et al. return to play and future acl injury risk after acl reconstruction in soccer athletes from the multicenter orthopaedic outcomes network (moon) group. am j sports med 2012; 40:2517–22.
- Flanigan dc, Everhart js, Pedroza a, et al. fear of reinjury (kinesiophobia) and persistent knee symptoms are common factors for lack of return to sport after anterior cruciate ligament reconstruction. arthroscopy 2013; 29:13229).
- Ardern cl, Taylor nf, feller ja, et al. fifty-five percent return to competitive sport following anterior cruciate ligament surgery: an updated systematic review and meta-analysis including aspects of physical functioning and contextual factors. brj sports med 2014; 48:1543–52.
- Ardern cl, webster ke, Taylor nf, et al. return to sport following anterior cruciate ligament reconstruction surgery: a systematic review and meta-analysis of the state of play. br j sports med 2011; 45:596–606.
- Ardern cl, Taylor nf, feller ja, et al. return-to-sport outcomes at 2 to 7 years after anterior cruciate ligament reconstruction surgery. am j sports med 2012; 40:41–8.
- shah vm, Andrews jr, fleisig gs, et al. return to play after anterior cruciate ligament reconstruction in national football league athletes. am j sports med2010; 38:2233–9.
- Courtney ca, rine rm. central somatosensory changes associated with improved dynamic balance in subjects with acl deficiency. gait posture 2006; 24:190–5.
- kapreli e, athanasopoulos s, gliatis j, et al. acl deficiency causes brain plasticity: a functional mri study. am j sports med 2009; 37:2419–26).
- Zimny ml, Schutte m, dabezies e. mechanoreceptors in the human anterior cruciate ligament. anat rec 1986; 214:204–9).
- Czuppon S, Racette BA, Klein SE, et al. Variables associated with return to sportfollowing anterior cruciate ligament reconstruction: a systematic review. Br J SportsMed 2014; 48:356– 64.
- Delextrat, AandCohen, D. Physiologicaltestingofbasketball players: Towardastandardevaluationofanaerobicfitness. J Strength CondRes 22:1066– 1072,2008.
- Roels J., Martens M., Muller J.C., Burssens A. Patellar Tendinitis, AMJ sports Med 1978/362:6.
- Witvrouw E., Bellemans J., Lysens R., Rental intrinsic risk factor for the development of patellar tendinit in an athletic population. A two year prospective Study, AMJ sports Med 2001/29:190-5.